20 octobre 2009
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Cela faisait un moment que je n'avais pas souhaité de fête.
Donc, bonne fête, Adeline !
Pour illustrer ce prénom, une chanson interprétée par Jean Tranchant.
" Il donne son premier récital, Salle Pleyel, en 1935. Il y interprète "Mademoiselle Adeline", l'histoire d'une courtisane des temps modernes, danseuse de l'opéra de son état, un peu à la manière de "Madame Arthur", succès d'Yvette Guilbert." Django Reinhardt est à la guitare et Stéphane Grappelli au violon.
Excusez du peu.
Cependant, Jean Tranchant n'est pas le premier à utiliser le talent de telles "pointures". Jean Sablon l'avait fait avant lui.
Donc, bonne fête, Adeline !

Pour illustrer ce prénom, une chanson interprétée par Jean Tranchant.
" Il donne son premier récital, Salle Pleyel, en 1935. Il y interprète "Mademoiselle Adeline", l'histoire d'une courtisane des temps modernes, danseuse de l'opéra de son état, un peu à la manière de "Madame Arthur", succès d'Yvette Guilbert." Django Reinhardt est à la guitare et Stéphane Grappelli au violon.
Excusez du peu.
Cependant, Jean Tranchant n'est pas le premier à utiliser le talent de telles "pointures". Jean Sablon l'avait fait avant lui.

Mademoiselle Adeline, Adeline, Adeline
Danseuse de l'Opéra
Passait pour être câline, câline, câline
Comme une chatte angora
Un conseiller honoraire
Personnage au parlement
Lui offrit, c'est légendaire,
Un abri d'amour charmant
Ravie, mais peu étonnée
Elle dit oui ; se donna
Le Prince de Guémenée,
Son bel amant, accepta
L'aventure était légère
Le prince était sans argent
Si bien qu'on ruina, ma chère,
Le monsieur du parlement
Après quoi, notre Adeline,
Pour conserver son péché
Son grand luxe et sa cuisine
Prit pour banquier, un boucher
Tous les bouchers de la Terre
N'y auraient jamais suffi
Quand Monsieur de Seneterre,
Un jour, lança son défi
Trois nuits blanches, oui Madame,
Il était vieux et très fat
Car il laissa son âme
Et Adeline hérita
Danseuse de l'Opéra
Passait pour être câline, câline, câline
Comme une chatte angora
Un conseiller honoraire
Personnage au parlement
Lui offrit, c'est légendaire,
Un abri d'amour charmant
Ravie, mais peu étonnée
Elle dit oui ; se donna
Le Prince de Guémenée,
Son bel amant, accepta
L'aventure était légère
Le prince était sans argent
Si bien qu'on ruina, ma chère,
Le monsieur du parlement
Après quoi, notre Adeline,
Pour conserver son péché
Son grand luxe et sa cuisine
Prit pour banquier, un boucher
Tous les bouchers de la Terre
N'y auraient jamais suffi
Quand Monsieur de Seneterre,
Un jour, lança son défi
Trois nuits blanches, oui Madame,
Il était vieux et très fat
Car il laissa son âme
Et Adeline hérita