Photo prise lors de la manifestation "Chrysanthema" à Lahr en Allemagne.
La Chrysanthema, une manifestation en plein air unique en son genre en Europe, propose chaque année, à la fin de l’automne, un festival riche en couleurs, véritable invitation à la créativité et à l’éveil des sens. Pendant trois semaines, 10 000 chrysanthèmes fleurissent la ville.
Parmi les différents tableaux proposés cette année, celui-là m'a, bien sûr, fait penser à la chanson de G. Brassens : Le vent.
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent fripon
Prudenc', prends garde à ton jupon
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent maraud
Prudent, prends garde à ton chapeau
Médis'nt du vent furibond
Qui rebrouss' les bois, détrouss' les toits, retrouss' les robes
Des jean-foutre et des gens probes
Le vent, je vous en réponds
S'en soucie, et c'est justic', comm' de colin-tampon
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent fripon
Prudenc', prends garde à ton jupon
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent maraud
Prudent, prends garde à ton chapeau
Bien sûr, si l'on ne se fonde
Que sur ce qui saute aux yeux
Le vent semble une brut' raffolant de nuire à tout l'monde
Mais une attention profonde
Prouv' que c'est chez les fâcheux
Qu'il préfèr' choisir les victimes de ses petits jeux
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent fripon
Prudenc', prends garde à ton jupon
Si, par hasard
Sur l'Pont des Arts
Tu croises le vent, le vent maraud
Prudent, prends garde à ton chapeau
Le pont des Arts
Une autre version de cette chanson par Pierre et Willy qui aurait, n'en doutons pas, l'agrément de G. Brassens. Et, en même temps, une belle leçon de guitare !