En ouverture des Brassensiades, le vendredi 23 mars 2018, les amis de l'Amandier proposeront un florilège de chansons d'artistes qui ont "fait" les premières parties des récitals de Georges Brassens.
Avec la participation de Christian Tissot (piano) et... surprise.
J'ai, dans mes "archives", le programme d'un concert de Georges Brassens (tournée 1964) auquel j'avais pu assister au théâtre de Besançon.
Quelle programmation !!!...
Je ne me doutais pas non plus qu'un jour, je croiserais régulièrement Oswald d'Andréa lors des Brassensiades ou lors des concerts des Branches de L'Amandier ! La vie est ainsi faite !
Ce deuxième document fait état de la première partie du récital Brassens.
Les autographes sont récents et datent des Brassensisades.
La matinée se lève
Toi debout, il est temps
Attends encore, attends
J'ai pas fini mon rêve
Le soleil nous inonde
Regarde-moi ce bleu
Attends encore un peu
Je refaisais le monde
Lève-toi donc, respire
Quel printemps nous avons
J'efface mille avions
Une guerre, un empire
Faut labourer la terre
Et tirer l'eau du puits
Changer la vie et puis
Abolir la misère
Regarde l'alouette
Il est midi sonné
Le monde abandonné
Je le donne aux poètes
Allons, viens dans les vignes
Le soleil est très haut
Le monde sera beau
Je l'affirme, je signe
Le monde sera beau
Je l'affirme, je signe
Etait un petit pioupiou
La maman du papa du papa de mon papa
Ell', ell' était nounou
Lui son nom, c'était Aimé Dépêche
Et elle s'appelait Amélie Vite
Et attendez, attendez vous allez voir la suite...
S'affolait pour les mollets
D'la maman du papa du papa de mon papa
Qui rêvait de convoler
Quand Aimé lutinait les jolis
Mollets moulés de la molle Amélie
Ell' frétillait, tortillait comm' l'anguille alanguie
Aimé a pris d'assaut les faveurs qu'Amélie voulait lui refuser
A dit : "J'suis pas un pourceau
J'voudrais pas qu'à cause d'un faux pas un' fille tombât
Dans l'opprob' du ruisseau
J'vas d'ce pas demander à son papa
La main de la belle Amélie Vite
Qui de ce fait va devenir Amélie Dépêche
Eut pour fils mon grand'papa Guilo qui était un saint
C'était saint Guilo Dépêche
Qui en bégayant eut trois jumeaux
Mon papa, mon tonton Dédé Dépêche
Amédée Noyau Dépêche
Amédée épousant un"Bossac" pour devenir
Bossac de Noyau Dépêche
A un fils doté de trois prénoms
En souvenir de ses glorieux ancêtres
(C'est mon cousin)
Yvan-Sévère-Aimé Bossac de Noyau Dépêche