Là, vous ne pouviez pas y couper. La célèbre chanson de Fernandel Barnabé s'impose aujourd'hui.
C'est la chanson-titre du film Barnabé d'Alexandre Esway (1938).

Pour la petite histoire, Fernandel est le pseudonyme de Fernand Joseph Désiré Contandin et l'on raconte que son pseudonyme lui vient de sa belle-mère, qui en parlant de son gendre, disait : « Voilà le Fernand d'elle ! ».
Ecoutez la chanson et exercez-vous à ce petit exercice de diction qui consiste à épeler Barnabé à la façon de Fernandel. Bien sûr, sans regarder les paroles.
Je n' suis pas gangster pour me faire appeler Bébert
Ni porteur à la gare du Nord sous l' nom de Totor
Je n' suis pas garçon coiffeur pour qu'on m'appelle Raymond
Mais je possède, c'est parfait, un nom qui plaît
Barnabé, Barnabé, c'est assez facile à épeler
Barnabé, Barnabé, B.ar.Bar.N.A.Na.B.é.Bé
Vous voyez que c'est très drôle, j' trouve le p'tit truc amusant
Et vous pourrez, ma parole, vous faire la langue en l'ép'lant
Barnabé, Barnabé, B.ar.Bar.N.A.Na.B.é.Bé
Avoir d' beaux yeux bleus, des cils d'un centimètre ou deux
Du sex appeal un peu partout et des ch'veux flous
Un nez aquilin avec le profil norvégien
Tout ça n' vaut pas en vérité un nom qui plaît
Barnabé, Barnabé, B.ar.Bar.N.A.Na.B.é.Bé !