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Bonjour !

  • : Ma p'tite chanson
  • : La chanson fait partie de notre vie. Elle accompagne notre quotidien, nos joies, nos peines... Peut-être apprendrez-vous quelque chose en parcourant ce blog. J'attends vos commentaires pour découvrir certains aspects de la chanson que je ne connais pas. A bientôt !
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Télérama - Musique

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24 février 2011 4 24 /02 /février /2011 16:12

En faisant une petite recherche concernant ce poète, j'ai fait quelques découvertes sur internet et j'aimerais vous en faire profiter.

1er exemple : les partitions d'une soixantaine de chansons légères de Gustave Nadaud.

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k37455n/f1.image

2ème exemple : un article sur la chanson dans la revue Le monde moderne (mars 1895) où il est aussi question de ce poète. L'article se termine par "La chanson est comme le phénix, elle renaît toujours et partout de ses cendres. La chanson ne peut pas mourir."

Mais vous pourrez aussi trouver la recette du boudin de merlan à la crème et à l'avant-dernière page commander du vin de table de Vaucluse, franc de goût et de couleur, titrant 9° et supportant bien l'eau !!!... A cette époque-là, on ne badinait pas ; il fallait commander un tonneau de 225 litres ! Vous pourrez également lire un article sur le travail de nuit des femmes...etc...

http://www.archive.org/stream/n3lemondemod1895pariuoft#page/388/mode/2up

 

 f1.highres.jpeg

Ah ! Au fait, pourquoi Nadaud ?

Georges Brassens lui emprunta un texte qu'il mit en musique : Le roi boiteux.



 

Un roi d'Espagne, ou bien de France,
Avait un cor, un cor au pied ;
C'était au pied gauche, je pense ;
Il boitait à faire pitié.

Les courtisans, espace adroite,
S'appliquèrent à l'imiter,
Et qui de gauche, qui de droite,
Il apprirent tous à boiter.

On vit bientot le bénéfice
Que cette mode rapportait ;
Et de l'antichambre à l'office,
Tout le monde boitait, boitait.

Un jour, un seigneur de province,
Oubliant son nouveau métier,
Vint à passer devant le prince,
Ferme et droit comme un peuplier.

Tout le monde se mit à rire,
Excepté le roi qui, tout bas,
Murmura : "Monsieur, qu'est-ce à dire ?
Je vois que vous ne boitez pas."

"Sire, quelle erreur est la vôtre!
Je suis criblé de cors. Voyez !
Si je marche plus droit qu'un autre,
C'est que je boite des deux pieds."

 

Les choses ont-elles beaucoup changé ???

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commentaires

L
<br /> Belle recherche et une chanson de Brassens que j'avais oubliée !<br /> Elle a aussi été reprise par Gilles Elbaz.<br /> Merci Pierre<br /> <br /> <br />
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