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Bonjour !

  • : Ma p'tite chanson
  • : La chanson fait partie de notre vie. Elle accompagne notre quotidien, nos joies, nos peines... Peut-être apprendrez-vous quelque chose en parcourant ce blog. J'attends vos commentaires pour découvrir certains aspects de la chanson que je ne connais pas. A bientôt !
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Télérama - Musique

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11 avril 2012 3 11 /04 /avril /2012 12:56

nous-1.jpg

Photo Maxime Cardinaux

http://maximecardinaux.darqroom.com/

 

Mes mains


Mes mains dessinent dans le soir
La forme d'un espoir
Qui ressemble à ton corps

Mes mains quand elles tremblent de fièvre
C'est de nos amours brèves
Qu'elles se souviennent encore

Mes mains caressent dans leurs doigts
Des riens venant de toi
Cherchant un peu de joie

Mes mains se tendent en prière
Vers ton ombre légère
Disparue dans la nuit

Mes mains elles t'aiment à la folie
D'un amour infini
Elles t'aiment pour la vie

As-tu déjà effacé ce passé qui m'obsède?
As-tu déjà oublié que ces mains ont tout donné?

Mes mains qui voudraient caresser
Un jour seront lassées
D'attendre ton retour

Mes mains elles iront te chercher
Là où tu t'es cachée
Avec un autre amour

Mes mains méprisant les prières
Trembleront de colère
Et je n'y pourrai rien

Mes mains pour toujours dans la nuit
Emporteront ta vie
Mais puisque tu le sais, reviens
Et tout comme autrefois
Elles frémiront pour toi
Dans la joie retrouvée

Reviens, ne les repousse pas
Ces mains tendues vers toi
Et donne leur tes mains

 

Si la musique est de Gilbert Bécaud, n'oublions pas l'auteur de cette très belle chanson : Pierre Delanoë

C’est chez Marie Bizet (humoriste de l'époque) que Pierre Delanoë fait la connaissance de François Silly, qui deviendra bientôt Gilbert Bécaud. Ensemble, ils créent Mes mains que Lucienne Boyer met aussitôt à son répertoire (spectacle à l’Alhambra de 1953). Cette chanson marque le début d’une longue et belle collaboration (non seulement avec Bécaud, mais aussi avec ses autres collaborateurs : Louis Amade, Maurice Vidalin...) qui  donnera naissance, pendant les décennies suivantes, à plusieurs beaux fleurons de la chanson française : Je t’appartiens (1955), Le jour où la pluie viendra (1957), Croquemitoufle(1958, reprise par Jean-Claude Pascal), Et maintenant (1961), Je reviens te chercher (1967), La solitude ça n’existe pas (1970), etc.


Pendant les années cinquante, de prestigieux interprètes ajoutent des chansons de Pierre Delanoë à leur répertoire : Tino Rossi (
Deux amants, 1954), Georges Guétary (Au petit trot, 1953), Édith Piaf (Les grognards, 1958), Yvette Giraud (Si tu es jolie, 1955).

J'ai emprunté ce texte ICI :

http://www.auteurscompositeurs.com/index.php?option=com_content&view=article&id=36&Itemid=62

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commentaires

Y
<br /> Un petit bijou que j'aurais aimé retrouver par Bécaud mais Dalida n'est pas mal non plus       <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://youtu.be/_jhigkoBhiQ<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />
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