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Bonjour !

  • : Ma p'tite chanson
  • : La chanson fait partie de notre vie. Elle accompagne notre quotidien, nos joies, nos peines... Peut-être apprendrez-vous quelque chose en parcourant ce blog. J'attends vos commentaires pour découvrir certains aspects de la chanson que je ne connais pas. A bientôt !
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Télérama - Musique

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22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 09:18
22 novembre - Sainte Cécile - Un passage de sa légende affirme qu'en allant au martyre elle entendit une musique céleste. Cette anecdote en fera patronne de la musique, des musiciens, des compositeurs des luthiers des chanteurs et des poètes.
Depuis le XVème siècle, l'emblème de Sainte Cécile est devenu l'orgue. Sur des représentations imagées, elle y est figurée avec un orgue, une harpe ou un autre instrument de musique. 

En randonnant, il y a peu de temps, j'ai eu l'occasion de la voir représentée dans une petite chapelle dans laquelle nous étions entrés.
Vous remarquerez que les pigeons ne respectent rien.



Illustrer musicalement ce prénom est chose facile si nous puisons dans les oeuvres classiques. Pour ce qui est de la chanson, je vous propose bien sûr ce très bel hymne d'amour que Nougaro dédia à sa fille, Cécile.

Du grand Nougaro, comme toujours !



Bon dimanche ! 
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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 10:08

Bonne fête, Albert ! (2ème édition de la journée). Je l'avais oublié celle-là !
 

Il y eut des Albert remarquables, voire "génialissimes" (pour ne citer qu'Einstein et Scweitzer).
 

Mais curieusement, les chansons se gaussent plutôt des Albert .
 

Ici, Jean Yanne, agrégé es déconnade, nous parle de son copain Albert. J'aime bien la chute de la chanson.
 

Interdit aux moins de 12 ans


Bon dimanche !

 



Aujourd'hui, pas de paroles pour ne pas "déflorer" la chute.



 

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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 08:40
Tout le monde connaît la chanson "Albert le contractuel" des Charlots.

Les Charlots ont commencé en 1965 sous le nom "Les Problèmes". Ils accompagnaient Antoine. 

Ils changèrent de nom pour devenir les Charlots et s'adonnèrent à la parodie (au second, troisième degré !!!...) Ils malmenèrent ainsi Jacques Dutronc, Antoine, Serge Gainsbourg...

On les entendit également dans des succès de l'avant-guerre (Sur la route de Pen-Zac), dans des chansons de Boris Vian...

Leur facéties ne sont pas vides de sens. Ne nous y trompons pas. 

    


On ne connaissait rien de lui

Il vivait seul et sans ami

Son visage reflétait l'ennui

Qui avait dû marquer sa vie
 

de neuf heures à six heures du soir

Il marchait le long des trottoirs

En taxant selon son devoir

Les stationnements prohibitoires


C'était Albert le contractuel

Il croyait que sa vie était belle

Il oubliait que dans le ciel

Les papillons bleus ont des ailes
 

On le disait dur et sévère

Mais son âme était noble et fière

A sa loi seuls pouvaient se soustraire

Les conducteurs des ministères
 

Dans toute la ville on connaissait

Sa silhouette et son carnet

En le voyant les chauffeurs disaient :

« C'est Albert, celui qui ne pardonne jamais »

 

C'était Albert le contractuel

Il croyait que sa vie était belle

Il oubliait que dans le ciel

Les papillons bleus ont des ailes
 

Mais un jour en dehors du service

Lui qui ne buvait que de l'eau

Pour un verre de trop de pastis

Il fut écrasé par un vélo


Sur sa tombe on inscrivit

Au milieu des fleurs en bouton

N'écoutez pas ce que l'on dit

Ce n'était pas le roi des… le roi des...

 

C'était Albert le contractuel

Il croyait que sa vie était belle

Il oubliait que dans le ciel

Les papillons bleus ont des ailes


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 15:42
Difficile de ne pas souhaiter une bonne fête au pauvre Léon !






Il a du bobo Léon
Il porte un bandeau Léon
Il a du bobo Léon
Oh, pauvre Léon

D'abord il ne s'appelle pas Léon
Mais je ne me souviens plus de son nom
J'peux pourtant pas l'appeler Hortense
Et puis ça n'a pas d'importance

Il a du bobo Léon
Il va peut-être canner Léon
Il a du bobo Léon
Oh, pauvre Léon

On l'a mené à l'hôpital
Pour le soigner où il avait mal
Il s'était fait mal dans la rue
Mais on l'a soigné autre part

Et il est mort !...
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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 07:51

Pour fêter les Elodie, une chanson peu connue (enfin , de moi !) de Michel Sardou. Elle a été écrite et composée par Sardou lui-même et date de 1985 (album "Chanteur de jazz").



Sur cette musique-là
Avec la même intro
Qui n'en finit pas
Toujours dans l'ombre
Tu n'aimais pas que l'on se voie
Alors dans l'ombre
Chacun pour soi

Une mélodie pour Elodie
Une petite fille de mes amis
Qui avait une drôle de maman
Avant ...
On s'est aimé comme on s'envole
Sur une musique et des paroles
Deux météores au firmament
Passant ...
Une mélodie pour Elodie
Et pour deux années de ma vie
Qui sont passées comme en rêvant
Deux ans ...

Sur cette musique-là
Avec un vieux chanteur
Qui trafiquait sa voix
L'un contre l'autre
Enlacés pour une autre fois
L'un contre l'autre
Chacun pour soi

Une mélodie pour Elodie
Une petite fille de mes amis
Qui avait une drôle de maman
Avant ...
Une chanson tendre pour qu'elle m'entende
Pour qu'elle se souvienne en passant
D'un vieil hôtel d'un océan
Du vent ...
On s'est aimé comme on s'envole
Sur une musique et des paroles
On s'est réveillés différents
D'avant ...
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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 12:38
Bonne fête, Céline !

« Santiano », « Céline » ou bien encore « Stewball »… on a tous chanté ces chansons à l’école, en colonies de vacances ou chez les scouts ! Ces morceaux font partie intégrante du répertoire musical français. 





C'est vrai que l'on connaît tous cette chanson par coeur mais peut-être pas les plus jeunes ! Alors c'est l'occasion d'entendre ou de réentendre une très belle chanson d'Hugues Aufray. Même les plus blasés  d'entre nous devront reconnaître qu'il s'agit là de bel ouvrage.

      


Dis-moi, Céline, les années ont passé
Pourquoi n'as-tu jamais pensé à te marier ?
De tout's mes soeurs qui vivaient ici
Tu es la seule sans mari 

Non, non, non, ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux 

Dis-moi, Céline, toi qui es notre aînée
Toi qui fus notre mèr', toi qui l'as remplacée
N'as-tu vécu pour nous autrefois
Que sans jamais penser à toi ? 

Non, non, non, ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux 

Dis-moi, Céline, qu'est il donc devenu
Ce gentil fiancé qu'on n'a jamais revu ?
Est-c' pour ne pas nous abandonner
Que tu l'as laissé s'en aller ? 

Non, non, non, ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux 

Mais non, Céline, ta vie n'est pas perdue
Nous sommes les enfants que tu n'as jamais eus
Il y a longtemps que je le savais
Et je ne l'oublierai jamais 

Ne pleure pas, non, ne pleure pas
Tu as toujours les yeux d'autrefois
Ne pleure pas, non, ne pleure pas
Nous resterons toujours près de toi
Nous resterons toujours près de toi
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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 16:10
Cela faisait un moment que je n'avais pas souhaité de fête.

Donc, bonne fête, Adeline !  


Pour illustrer ce prénom, une chanson interprétée par Jean Tranchant.

" Il donne son premier récital, Salle Pleyel, en 1935. Il y interprète "Mademoiselle Adeline", l'histoire d'une courtisane des temps modernes, danseuse de l'opéra de son état, un peu à la manière de "Madame Arthur", succès d'Yvette Guilbert." Django Reinhardt est à la guitare et Stéphane Grappelli au violon.
Excusez du peu.
Cependant, Jean Tranchant n'est pas le premier à utiliser le talent de telles "pointures". Jean Sablon l'avait fait avant lui.


 


Mademoiselle Adeline, Adeline, Adeline
Danseuse de l'Opéra
Passait pour être câline, câline, câline
Comme une chatte angora

Un conseiller honoraire
Personnage au parlement
Lui offrit, c'est légendaire, 
Un abri d'amour charmant

Ravie, mais peu étonnée
Elle dit oui ; se donna
Le Prince de Guémenée, 
Son bel amant, accepta

L'aventure était légère
Le prince était sans argent
Si bien qu'on ruina, ma chère, 
Le monsieur du parlement

Après quoi, notre Adeline, 
Pour conserver son péché
Son grand luxe et sa cuisine
Prit pour banquier, un boucher

Tous les bouchers de la Terre
N'y auraient jamais suffi
Quand Monsieur de Seneterre, 
Un jour, lança son défi

Trois nuits blanches, oui Madame, 
Il était vieux et très fat
Car il laissa son âme
Et Adeline hérita

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 11:20
A la recherche de chansons pour le prénom du jour, je vous ai trouvé une chanson de Michel Buzzi. Je trouve le son assez sympa, la voix  agréable.

Ancien chanteur-guitariste romand. En 1978, un journal suisse écrivait «Une voix, un coup de plume et une inspiration très personnels. Le plus sérieux de nos rares espoirs ; ça c'est sûr».

Michel Buzzi travaille à la Radio Suisse Romande comme responsable de la programmation sur la chaîne musicale de la Radio Suisse Romande, «Option musique».



 

 

 


 
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3 octobre 2009 6 03 /10 /octobre /2009 09:40

Un conseil d'ami :

"Faut pas gonfler Gérard Lambert quand y répare sa mobylette. Je ne sais même pas si vous pouvez lui souhaiter sa fête aujourd'hui. Je l' sens énervé !" 

 

 

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 05:01

Hier, c'était la saint Vincent, alors un p'tit coup de marche arrière et nous fêtons les Vincent. Bon, la chanson que je vous propose, c'est vraiment pas la fête mais quelle belle chanson !






Paroles et musique : Aristide Bruant

Elle avait sous sa toque de martre,
sur la butte Montmartre,
un p'tit air innocent.
On l'appelait rose, elle était belle,
a' sentait bon la fleur nouvelle,
rue Saint-Vincent.
 
Elle avait pas connu son père,
elle avait p'us d'mère,
et depuis 1900,
a' d'meurait chez sa vieille aïeule
Où qu'a' s'élevait comme ça, toute seule,
rue Saint-Vincent.
 
A' travaillait déjà pour vivre
et les soirs de givre,
dans l'froid noir et glaçant,
son p'tit fichu sur les épaules,
a' rentrait par la rue des Saules,
rue Saint-Vincent.
 
Elle voyait dans les nuit gelées,
la nappe étoilée,
et la lune en croissant
qui brillait, blanche et fatidique
sur la p'tite croix d'la basilique,
rue Saint-Vincent.
 
L'été, par les chauds crépuscules,
a rencontré Jules,
qu'était si caressant,
qu'a' restait la soirée entière,
avec lui près du vieux cimetière,
rue Saint-Vincent.
 
Et le p'tit Jules était d'la tierce
qui soutient la gerce,
aussi l'adolescent,
voyant qu'elle marchait pantre,
d'un coup d'surin lui troua l'ventre,
rue Saint-Vincent.
 
Quand ils l'ont couché sur la planche,
elle était toute blanche,
même qu'en l'ensevelissant,
les croque-morts disaient qu'la pauv' gosse
était crevé l'soir de sa noce,
rue Saint-Vincent.
 
Elle avait une belle toque de martre,
sur la butte Montmartre,
un p'tit air innocent.
On l'appelait Rose, elle était belle,
a' sentait bon la fleur nouvelle,
rue Saint-Vincent.

 


Aristide Bruant (1851 Courtenay - 1925 Paris) était un chansonnier français. Une présence en scène hors du commun, une voix puissante et des chansons populaires en langage argotique en font un personnage incontournable dans l'histoire de la chanson française. Il est un des créateurs de la chanson réaliste qui a perduré pendant un grande partie du XXème siècle avec notamment Edith Piaf comme une des dernières interprètes.


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